« Le train de 22h58 a bien circulé. C’est pour cette raison que le 23h23 n’a pas marqué d’arrêt supplémentaire. »
Ouais, enfin, on parle quand même d’un vide d’une heure entre deux trains.
Lorsque votre pause déjeuner saute, vous n’attendez pas le dîner, vous grignotez à quatre heures. Bah c’est un peu pareil ici je pense.
N'importe quoi, il n'y avait aucun aléa météorologique le 12/02, tout avait fondu. Vous prenez vraiment les gens pour des cons (notez qu'il est difficile de rester poli dans ses circonstances).
Et du coup, sur mon message, qui ne portait en aucun cas sur le dédommagement, mais bel et bien sur le respect d'un plan de transport déjà dégradé, quelle réponse ?
Ce soir, encore des travaux pour rentrer à Sartrouville. On passe donc de 6 trains par heure, une offre répartie entre le A et la L, à 2 trains par heure, exclusivement depuis Saint-Lazare (puisqu'on ne peut pas partir de Pont Cardinet).
Donc on s'adapte ! 22h28 et 22h58, pas question d'attendre dans le froid, donc on écourte la soirée pour récupérer le train.
Et là... "supprimé" (NDLR : le 23h28 le sera aussi)
On se dit, ce n'est pas grave, il y a un Mantes par Poissy qui part à 23h23, il fera arrêt supplémentaire pour compenser, ce n'est pas la mort.
Et bien non ! Et surtout, il ne faut pas compter sur l’amabilité du personnel en gare sur ce sujet. Ils sont en liaison directe avec le PRS, mais ils se fichent bien du service rendu.
Alors je pose simplement les questions suivantes :
- Lorsqu'un service est ramené à un strict plus que minimum, comment réussir l'exploit de supprimer la moitié des trains (puisque c'est à ça que cela revient) alors que le matériel utilisé (un Z 50000) était présent en nombre en garage.
- Quand est-ce que la SNCF aura t-elle dans ses gênes le sens du service client, en communiquant, déjà (à part un "supprimé" sur les panneaux, on n'a rien eu), et en trouvant des mesures compensatoires (ici il y en avait une simple).
« Le train de 22h58 a bien circulé. C’est pour cette raison que le 23h23 n’a pas marqué d’arrêt supplémentaire. »
Ouais, enfin, on parle quand même d’un vide d’une heure entre deux trains.
Lorsque votre pause déjeuner saute, vous n’attendez pas le dîner, vous grignotez à quatre heures. Bah c’est un peu pareil ici je pense.
Bref…
N'importe quoi, il n'y avait aucun aléa météorologique le 12/02, tout avait fondu. Vous prenez vraiment les gens pour des cons (notez qu'il est difficile de rester poli dans ses circonstances).
Et du coup, sur mon message, qui ne portait en aucun cas sur le dédommagement, mais bel et bien sur le respect d'un plan de transport déjà dégradé, quelle réponse ?
Bonjour,
Paris Saint-Lazare, 12/02, 22h10
Ce soir, encore des travaux pour rentrer à Sartrouville. On passe donc de 6 trains par heure, une offre répartie entre le A et la L, à 2 trains par heure, exclusivement depuis Saint-Lazare (puisqu'on ne peut pas partir de Pont Cardinet).
Donc on s'adapte ! 22h28 et 22h58, pas question d'attendre dans le froid, donc on écourte la soirée pour récupérer le train.
Et là... "supprimé" (NDLR : le 23h28 le sera aussi)
On se dit, ce n'est pas grave, il y a un Mantes par Poissy qui part à 23h23, il fera arrêt supplémentaire pour compenser, ce n'est pas la mort.
Et bien non ! Et surtout, il ne faut pas compter sur l’amabilité du personnel en gare sur ce sujet. Ils sont en liaison directe avec le PRS, mais ils se fichent bien du service rendu.
Alors je pose simplement les questions suivantes :
- Lorsqu'un service est ramené à un strict plus que minimum, comment réussir l'exploit de supprimer la moitié des trains (puisque c'est à ça que cela revient) alors que le matériel utilisé (un Z 50000) était présent en nombre en garage.
- Quand est-ce que la SNCF aura t-elle dans ses gênes le sens du service client, en communiquant, déjà (à part un "supprimé" sur les panneaux, on n'a rien eu), et en trouvant des mesures compensatoires (ici il y en avait une simple).
Merci par avance